COVID-19 : LA HERS ADAPTE LES AXES DE SON PLAN STRATÉGIQUE !
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Si on m’avait dit que je partirais travailler quelques mois au Mont-Saint-Michel quand je suis arrivée à la HERS, je ne m’en serais jamais cru capable. Et pourtant !
Étudiante en management du tourisme et des loisirs, je pense que le tourisme s’effectue d’abord dans des régions qui nous sont proches. On a tendance aujourd’hui à penser que faire du tourisme, c’est automatiquement partir très loin.
Je suis d’avis que le tourisme en Belgique et vers des destinations proches qui peuvent sembler traditionnelles, ne doit absolument pas être négligé. D'autant plus dans le contexte actuel de crise sanitaire !
C’est dans cette optique que j’ai décidé de partir en Erasmus en France. Il se trouve que j’ai eu l’opportunité d’effectuer mon stage à l’Office de Tourisme du Mont-Saint-Michel.
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Je m’appelle Océane et suis étudiante en 4e et dernière année de Bachelier Infirmier Responsable de Soins Généraux (BIRSG). Dès la première année de mon cursus j’ai appris qu’il était possible de réaliser un stage à l’étranger via le projet Erasmus. Chaque année je suis allé aux réunions et me suis informée afin de réaliser ce projet. C’est finalement lors de ma dernière année que celui-ci s’est concrétisé.
J’ai pris la décision de partir effectuer cet Erasmus à Metz en France, mon pays natal, car celui-ci est un pays francophone me permettant donc de ne pas avoir de problèmes de communication avec les équipes. De plus, faisant partie des premiers étudiants sur 4 ans, l’organisation de cette nouvelle année n’était pas fixe et je souhaitais me sentir proche de la Belgique si j’en ressentais le besoin. Enfin, la France est un pays où je souhaitais potentiellement exercer mon métier une fois mon diplôme obtenu, il me paraissait donc logique de réaliser ce stage Erasmus là bas afin de découvrir le système de soins français.
Une fois l’ensemble des documents envoyés et conventions signées, me voilà : la première étudiante BIRSG de mon école à partir vivre cette expérience !
Assistant.e de direction... Ce nom de fonction semble tout droit sorti du monde des grandes entreprises. Dans la réalité, l'assistant.e de direction peut exercer son activité dans des entreprises de toutes tailles et dans tous les domaines. C'est vrai... Mais dans cette expression, on retrouve aussi la notion d'assistance dans les choix de vie. « Quelle direction vais-je prendre ? »
On ne le sait pas toujours mais, en tant qu'assistant.e de direction, on peut travailler dans n'importe quel secteur, y compris les moins courants à première vue. Dans des domaines aussi variés que l'art, la mode, et - pourquoi pas - la musique ou le tourisme !
Vous en doutez ? Pas Amandine !
À 27 ans, cette jeune bastognarde arbore un CV qui nécessite qu'on s'y reprenne à plusieurs fois pour en faire le tour. En quelques années à peine, Amandine a acquis une expérience impressionnante. Et surtout, elle fait preuve d'un sens de l'adaptation très précieux en ces temps troublés.
Dans quelques mois, je serai infirmier. Mon devoir est d'aider les personnes malades et le milieu qui sera le mien.
Depuis le début de la crise sanitaire, les enseignants, les coordinateurs de section et Patrick Galliez se sont démenés pour aider les étudiants à revenir au plus vite. La plupart sont rentrés il y a deux semaines, et le dernier étudiant est rentré le 23 mars 2020. Certains étudiants ont eu des difficultés pour revenir, mais nos équipes étaient là pour les rassurer, les guider, voire trouver des solutions dans les situations inextricables.
Une nouvelle rassurante pour tous les proches de nos étudiants, puisque celles et ceux en mobilité en Afrique sont également rentrés. Si le continent était encore relativement préservé il y a deux semaines, la situation risque fort de prendre une tournure dramatique dans les semaines qui viennent. On peut donc se réjouir du travail accompli par nos équipes de Virton, qui ont œuvré pour aider nos étudiants Éducateurs spécialisés.
Au terme de son séjour de trois semaines parmi nous, Ivan, étudiant en 4e année, a tenu à nous livrer son témoignage.
L'objectif majeur de ces séjours est d'améliorer la maîtrise de la langue. Pas seulement au niveau théorique, mais surtout au niveau de la langue parlée. L'apprentissage de la culture française est aussi très important.
En pratique, cela passe par l'assistance aux cours et par des visites de lieux historiques et culturels en Belgique, en France et au Grand-Duché de Luxembourg. Comme le souligne Ivan, chaque jour apporte son lot de nouvelles expériences et d'émotions.
Pour un étudiant ukrainien, la visite de lieux historiques est toujours une surprise, car il n'y en a pas en Ukraine.
Si Ivan devait résumer son expérience parmi nous en quatre mots, ce seraient ceux-ci : hospitalité, confort, calme et... français ! Chaque instant passé ici se transforme en leçon de français.
Découvrez en quoi Ivan trouve notre pays hospitalier, confortable, et calme ! L'écouter nous ouvre les yeux sur des aspects de notre pays que nous avons oubliés un peu trop vite !
Souhaitant pouvoir proposer dans le futur des modules de cours en anglais, encore mieux préparer ses étudiants à la mobilité internationale et ainsi promouvoir davantage l’international (IN et OUT), la Haute École Robert Schuman a proposé ces 23 et 24 janvier un séminaire de formation CLIL à destination de ses enseignants.
Pour cela, à l’initiative du Bureau des Relations Internationales, la HERS a invité le professeur Jim Connolly de l’Université de Galway (Irlande - NUI Galway), spécialiste de la méthode CLIL, pour y former ses enseignants. Le CLIL (Content and Language Integrated Learning) est une approche pédagogique permettant d’intégrer le contenu au moyen d’une autre langue, ce qui permet d’enseigner à la fois la matière et la langue.
Depuis ma 1e année en tourisme durable, je savais que je ferais mon stage à l’étranger. Quoi de plus logique pour un étudiant en tourisme ! Le choix de la destination a beaucoup changé entre mes premières réflexions en 1e année et le choix final en Bac 3.
D’abord, la ville de Shanghai en Chine, ville que j’ai eu la chance de découvrir pendant 6 mois après ma rhéto, puis le Japon qui est un pays avec une culture extrêmement riche. Au fil du temps, je me suis de plus en plus renseigné sur Taïwan, une île entre la Chine et le Japon.
Pays qui n’en n’est pas vraiment un, puisque Taïwan a un statut à part dans le monde. L'île fait souvent la une des médias, notamment à cause de sa relation avec la Chine. D’ailleurs, le nom officiel de Taïwan est la République de Chine (la Chine continentale a pour nom officiel République Populaire de Chine).